
samedi 24 décembre 2011
social opendata sémantique

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jeudi 10 novembre 2011
Tout un programme, faisons-le ensemble

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mercredi 26 octobre 2011
Le fan de la semaine : Cécile TALEC
Dans un entretien accordé au Courier de L’UNESCO en 2000, le créateur du Web, Tim Berners Lee, expliquait simplement : J’ai un double rêve pour le Web. D’une part, je le vois devenir un moyen très puissant de coopération entre les êtres humains. Et dans un second temps, j’aimerais que ce soit les ordinateurs qui coopèrent. [...] Quand mon rêve sera réalisé, le Web sera un univers où la fantaisie de l’être humain et la logique de la machine pourront coexister pour former un mélange idéal et puissant.C’est donc la fin à terme du référencement et des moteurs de recherches avec la standardisation des données ? Si demain Solutions Graphik’N Print faisait son site dans un langage adapté au web sémantique quels en seraient les bénéfices ? En quoi mes informations seraient mieux diffusées, plus accessibles ? En quoi je pourrais mieux communiquer ? Comment une ontologie dans un domaine déterminé pourra se construire sur le web pour une structure comme la mienne ?

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samedi 22 octobre 2011
L'Afrique Nouveau Monde 2.0 : G20 de l'Internet à Bercy

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mercredi 21 septembre 2011
Community Manager out, Content Manager in
C'est l'heure de la rentrée pour Networkvb, avec ce nouvel article qui précise l'orientation des mois à venir. Pourquoi un tel titre et qu'est-ce que je veux dire ? Pour nos enfants, la rentrée signifie majoritairement passer la classe supérieure. Je vous propose la même chose : passer du CM1 (Community Manager) au CM2 (Content manager). Avec la rentrée, la fan page du projet, english version, a évolué quelque peu et elle continuera de le faire en étant l'espace privilégié de communication avec le blog.
Pour moi, le community manager est un terme mal approprié. Une traduction littérale serait gestionnaire de communautés, pourtant les bad buzz à répétition ont montré que c'était plutôt la communauté qui gérait la communication de l'entreprise. De plus, la notion n'a pas le même sens selon le côté de l'Atlantique où vous vous situez. La multiplication des réseaux sociaux, Google+ est définitivement accessible à tous, rend cette gestion ingérable. Les outils pour diffuser le plus largement possible se multiplient, se spécialisent, se dupliquent, ... La bataille entre les principaux réseaux sociaux se transforme en ' too me ' créant un appauvrissement et un manque d'innovation pour l'entreprise utilisatrice.
Comment passer la classe supérieure ?Ce qui importe le plus, ce n'est pas d'avoir le maximum de contacts, c'est d'avoir un contenu accessible facilement, pour le trouver, pour l'utiliser et pour le diffuser. Pour passer la classe supérieure vous ne devez pas être des moutons de Panurge en faisant la même chose que les réseaux sociaux : le clônage industriel. Ce n'est pas votre intérêt. Si les réseaux sociaux le font, c'est parce qu'ils veulent gérer à votre place vos propres données. Pour gérer au mieux vos données, vous ne devez pas les disperser, ni les démultiplier, vous devez définir vos propres critères tout en les libérant des réseaux sociaux. A quoi ça sert d'avoir un carnet d'adresses rempli, s'il est vide de données exploitables, s'il est rangé dans un tiroir fermé à double tour. Si vous n'avez pas de données à offrir à votre communauté, vous êtes GAME OVER.

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jeudi 1 septembre 2011
Branding Content Management : vos objectifs 2.0
Vous devez faire un choix et vous y tenir : FIXER des objectifs.
Débat perso/pro :
La démarche NETWORKVB :
Dès que je dois m'inscrire sur un site et choisir un pseudo, je garde systématiquement le même : Networkvb. A la base, je suis venu sur les réseaux et médias sociaux pour protéger mon identité numérique. C'était mon seul objectif. Cela favorise le référencement car une recherche sur votre pseudo permet de savoir où l'on peut me trouver en ligne. Ma démarche était plutôt personnelle avec un oeil d'enfant qui découvre le monde. Mon parcours professionnel m'a incité à être plus à l'écoute de mon environnement, à continuer à apprendre chaque jour en partageant avec différentes personnes. Je suis donc passé à une démarche plus professionnelle où j'ai dû rationaliser ma démarche. De ce fait, je suis passé par les différents débats mentionnés ci-dessus. Nous allons les passer en revue :
Ne dit-on pas d'une personne qu'elle est professionnelle ou pas ? Oui. Deux professionnels avec les mêmes compétences ne réagissent pas de la même façon. La différence : la personne que nous sommes. A l'annonce de cet article, j'ai eu des réactions, plus ou moins vives, sur le sujet. Par rapport à mon objectif orienté professionnel, j'ai arrêter les jeux sur Facebook, j'ai complété scrupuleusement mon profil, j'ai rendu accessible les informations nécessaires pour qu'un professionnel puisse se faire une idée de qui suis-je ? De ce fait, je n'ai aucun problème sur le fait de donner ma vraie identité sur mon profil. La fan page me sert d'espace professionnel. Quand je vois certains profil où ils ont tout bloqué, car certains sites, se disant professionnel, ont relayé les peurs et le sentiment " Big Brother " je suis attristé. Le deal est le suivant : Facebook est gratuit en échange d'un matraquage publicitaire, c'est le modèle qu'ils ont choisi. Vous n'êtes pas d'accord avec ce modèle de développement, ne soyez pas présent sur Facebook. A vous de définir vos objectifs par rapport à ce que vous souhaitez réellement.
Débat privé/public
Etre présent sur les réseaux sociaux signifie être présent sur un espace public. A partir de ce constat, vous constaterez que mon profil Facebook n'a pas d'informations personnelles et privées en dehors des informations généralistes demandées par le site. Certains pour se protéger de leur " vie privée " n'utilisent pas leur vraie identité, bloquent toutes les informations. Ainsi quand je veux découvrir un profil, je tombe sur une page blanche. Dans ces conditions, comment puis-je dialoguer ? Comment puis-je rechercher une compétence professionnelle ? ... Certains pourront me dire, que je n'ai pas besoin de connaître l'identité de la personne, que pour les professionnels, il y a les fans page, ... Le problème, c'est qu'une relation professionnelle, c'est une relation de confiance aussi. J'ai donc besoin de connaître la vraie personne.
Débat anonyme/narcissique
C'est le débat le plus absurde qui puisse exister. On revendique l'anonymat pour pouvoir attaquer en toute liberté, protéger et développer le processus du " Printemps arabe " soi-disant. Je vois la raison de l'anonymat plus pour un refus du modèle économique actuel basé sur la publicité et le matraquage de celle-ci. Des services se développent pour permettre à chacun de raconter sa vie à tout le monde. C'est narcissique, si nous choisissons de raconter tout et rien sans objectifs particuliers.
Ces débats ont tous un point commun : vous maitrisez vos choix. Toute information que vous mettez sur les réseaux sociaux, notamment Facebook, va vous faire basculer d'un côté ou d'un autre.
Personnellement :
J'ai donc choisi de garder ma vie privée privée en affirmant avec fierté sur mon profil que je m'appelle Vincent BARBEROT alias Networkvb dans la vie numérique.
J'ai donc choisi de faire de ma présence numérique un observatoire pour gérer mes activités professionnelles au mieux, en ayant une fan page sur Facebook, comme ce dernier me le suggère dans les conditions d'utilisation que j'ai accepté sans les lire.
J'ai donc choisi de ne pas être anonyme, qui ne correspondait pas à mon choix professionnel dans l'usage des réseaux et des médias sociaux.
J'ai donc choisi de ne pas être narcissique, car cela ne me sert pas professionnellement. On a juste besoin de savoir qui je suis et où je serai le plus utile pour mon épanouissement et celui de l'entreprise. Une pièce a deux faces qui s'opposent mais qui ne font qu'un seul et unique objet.

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vendredi 26 août 2011
Zlio, Tchao, Rido
A la suite de cela, j'ai eu un échange sur Twitter à ce sujet très instructif.
Panda de Google n'y est pas étranger, donc le problème central de cette décision c'est le référencement. Mon point de vue sur le sujet est très tranché, j'ai eu l'occasion d'en parler dans un précédent article sur Google+ ce qui a permis de lancer le débat, les commentaires sont tout aussi instructif à cet égard.
Malheureusement, j'ai appris à mieux connaître Zlio à cette occasion, exemple intéressant du fait que je suis en finalisation d'une création d'entreprise.
De formation commerciale, pour moi il faut l'être pour une boutique en ligne. Or, il m'a été répondu que je ne devais pas confondre e-commerçant et commercial. L'objectif du projet était d'initier des personnes au e-commerce. Au début, ce n'était pas basé sur le SEO (référencement), mais un problème a été détecté : les membres n'ont pas assez de personnes dans leur entourage pour faire fonctionner correctement les boutiques et donc pour les pérenniser.
Il m'a été répondu que certains ont cartonné, en toute logique j'ai demandé où se situait la barre pour dire que ça marche ? La réponse a été très claire et elle est connue de tous les entrepreneurs : la loi de Pareto. Le problème que j'ai décelé, c'est que les 80% qui n'ont pas réussi sont très véhéments sur le Web.
Zlio a-t-il tenu ses promesses ? Oui et non. Pour moi, Zlio a été victime du marketing de masse basé sur la quantité : faites de l'argent sur Internet, c'est facile pour tout le monde. Rappelez-vous la promesse de base : initier au e-commerce, donc former toute personne au e-commerce. Quand un adulte se forme en cours du soir, il ne gagne pas d'argent, bien au contraire il paie pour ce service.
Voilà comment j'ai comprise et comment j'analyse la fermeture de ce service. Naturellement, Zlio a un droit de réponse et peut compléter dans les commentaires.

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mercredi 24 août 2011
Le web 2.0 est mort d'overdose
Quoi ? Le community manager n'existe plus ? Pas trop vite, j'explique mon point de vue dans cet article justement.
Les premières études chiffrées ont montré que l'activité sur les réseaux sociaux commençaient à diminuer. J'ai même lu que Waren Buffett ne recommandait plus d'investir dans les réseaux sociaux. Les analyses les plus lucides ont simplement dit que selon une analyse schumpetérienne c'était prévisible. J'en rajoute une couche : c'est très salvateur, je dirai même.
Et notre community manager ? On en fait quoi au final ?
Mes plus fidèles lecteurs savent que j'ai déjà écrit précédemment ma pensée à ce sujet : 1 CM par service dans l'entreprise, tous les chefs d'équipe d'une certaine façon.
Donc c'est forcément un poste en interne, si j'ai un CM externe j'ai tout faux ?
J'ai lu récemment grâce à ma veille dans mon réseau deux articles significatifs des erreurs et qui de mon point de vue valide l'étude mentionnée ci-dessus et l'avis de Warren Buffett. Les voici : dérives CM et la pub dans le web 2.0
Dans le cadre du projet Networkvb, sachez que j'ai choisi de travailler avec une agence de communication, déjà choisie, et que j'ai eu plaisir à rencontrer la personne qui aura la charge du budget.
Vincent, je ne comprends plus rien. Tu titres la fin du CM, tu écris plein de CMs dans l'entreprise et tu choisis un CM externe ?
Je suis partisan de la coexistence des deux, sachant que c'est le CM interne qui pilote. Pourquoi ? Il est toujours intéressant d'avoir un œil extérieur sur l'environnement qui nous entoure. Face à une surcharge de travail le CM interne peut passer à côté d'une demande. Quand je vois l'un de mes contacts face à ce type de problème, j'informe le CM interne. Ponctuellement, cela m'est arrivé de le faire : deux personnes contentes au lieu d'un bad buzz pourri.
Les Etats ont des problèmes structurels dans leurs économies à cause de la dette, le web 2.0 a des problèmes structurels aussi car il n'a pas encore trouvé son modèle économique de rupture pour se relancer.
Maintenant le débat est ouvert.

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mardi 23 août 2011
Le mythe de la secrétaire-café s'effondre dans l'entreprise
Dans l'imaginaire collectif, la secrétaire est une blonde pulpeuse qui trie les dossiers et apporte le café. Là rien de tout cela, ce n'est plus qu'un rêve ou un fantasme pour les mâles en rut.
La secrétaire devient une collaboratrice à part entière, dont la responsabilité est d'organiser la gestion courante. Et là, on s'attaque à un gros morceau car cette collaboratrice aux fonctions élargies croule sous les données (gestion des connaissances), vous ne la voyez même plus. Qu'est-ce qu'être secrétaire aujourd'hui ?
Vue de l'extérieur pour moi, la secrétaire n'existe plus. Je m'explique. Récemment, je me suis rapproché de secrétaires indépendantes pour leur proposer un deal : devenez la première collaboratrice dans l'entreprise. En clair ? Elargir vos prestations en apportant un maximum de valeur ajoutée. Quand vous avez une idée de mutualiser les moyens, vous êtes dans la bonne voie.
La secrétaire indépendante est la meilleure personne pour permettre à la TPE de devenir une grande entreprise.
Dans l'article mentionné ci-dessus, je parlais de trois piliers, les autres sont : la standardiste et le community manager. En fait dans la réalité, nous avons à faire à une seule fonction : la communication de l'entreprise qui représente l'image de marque de l'entreprise.

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lundi 18 juillet 2011
L'opendata de l'entreprise : le cycle vertueux de vos données
Il semblerait qu'en France, nous ayons décidé de passer la vitesse supérieure dans le domaine de l’open data : bonne nouvelle.
Cet activisme cache une réalité moins glorieuse. Nos dirigeants politiques dans leur ensemble ont un double discours. On ne peut pas développer l’open data, si de l'autre on tire à boulets rouges sur la neutralité du net, le filtrage et autres boucs émissaires des problèmes sociaux-économiques de notre pays.
Par ailleurs, tout le monde en convient, le mouvement open data sera une réussite si nous savons optimiser son usage et faire participer tout le monde. La libéralisation des données publiques n'est pas une fin, c'est le début d'une nouvelle aventure pour le développement économique.
L'utilisation massive de l’open data dans les meilleurs conditions est une garantie de son succès. Chez Networkvb, nous y croyons très fort, c'est pourquoi nous développons de nouveaux concepts basés sur l’open data.
OPEN DATA = LIBÉRALISATION DES DONNÉES PUBLIQUES, SEULEMENT ?
Le contexte :
En terme de gestion financière, nous savons que plus le cycle de production est court, plus l'entreprise est rentable. Or, pour y parvenir, nous avons besoin de données pour prendre des décisions. La gestion de celles-ci devient donc un enjeu majeur, par conséquent son cycle de vie doit être connu au mieux. En enfermant vos données, vous brisez ce cycle et donc l'opportunité d'être efficace.
Les conditions :
Dans mon précédent article, j'ai parlé des trois piliers de l'entreprise, dont l'opendata, nous en avons ici la finalité. La donnée doit devenir connaissance qui deviendra décision, chacun doit pouvoir l'intégrer, donc il faut l'ouvrir. J'ai parlé aussi de trois fonctions au sein de l'entreprise comme porte d'entrée pour l'extérieur, elles doivent être les aiguilleurs, les caméléons de l'entreprise et donc disposer des données pour y parvenir.
La méthode :
3 piliers, 3 fonctions, ... ? Que manque-t-il au triptyque pour réussir ? 3 ACTIONS : la conduite du changement, un nouveau modèle et une nouvelle organisation pour décupler vos forces. Dans un précédent article sur les piliers (avant-dernier paragraphe de l'article), je vous avais donné l'exemple de Ford. Je vais aller plus loin avec un autre exemple :
On vous propose 1 million d'euros maintenant ou 1 euro doublé chaque jour pendant 1 an ? Vous choisissez quoi ? Répondez dans les commentaires en précisant pourquoi ?
Networkvb vous accompagne tout au long du processus : audit, analyse, action et accompagnement (processus des 4A).

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samedi 16 juillet 2011
Conduite du changement : gestion des connaissances, sémantique et opendata
Comme je le sous-entendais dans un précédent article, les grands leaders du marché mettent en place leur propre plate-forme pour garder le plus longuement possible le visiteur, lui fournir le plus de pub sous toutes ses formes. Pourtant, il semblerait qu'ils veulent s'adresser aux entreprises et non plus seulement aux particuliers.
Les contraintes des entreprises ne sont pas les mêmes, une entreprise ne peut pas se permettre de changer de plate-forme tous les mois à chaque nouvelle sortie. Nous avons vu les conséquences des problèmes rencontrés par Amazon il y a quelques temps. Nous avons vu aussi, que ces mêmes acteurs modifiaient leurs conditions d'utilisation unilatéralement pour utiliser comme bon il leur semble vos propres données, sans négociation possible.
En conséquence, l'entreprise doit pouvoir gérer elle-même sa marque, son identité numérique, et donc ne pas dépendre d'une plate-forme dépendante d'un grand leader de l'informatique. Pour cela, le web sémantique et l'opendata peuvent l'aider.
Pour moi, la pierre angulaire de l'identité numérique c'est le blog. C'est votre outil, votre empreinte génétique, ne le sacrifier pas. Comme les grands leaders, vous devez avoir votre propre plate-forme et la gérer à la demande et sur-mesure en fonction de vos besoins réels. Dans le cas contraire, vos prestataires (Microsoft, Google, Facebook, ...) en connaissent beaucoup plus sur vous que vous-même. Si vous pouvez sous-traiter beaucoup de choses, la gestion des connaissances (Knowledge Management) doit rester votre priorité pour la maîtrise de votre développement par l'innovation.
Networkvb vous accompagne dans une solution technique pour votre propre plate-forme, où la gestion des connaissances est remise au cœur de votre entreprise. Encore hier, j'ai fait le relais pour un grand compte. La multiplication des plates-formes ne facilitent pas la prise en compte des besoins du client. Il m'arrive donc d'utiliser mon réseau pour aider sans contrepartie, car j'ai la connaissance d'une information pour satisfaire un besoin.
Il existe trois façons de rentrer en relation avec une entreprise : la standardiste, la secrétaire et maintenant le community manager. Ce sont les premiers contacts que l'on peut avoir avec une entreprise. Pour moi, la gestion des connaissances passe par eux. Malheureusement cela ne suffit pas, j'en ai eu encore la preuve hier. En effet, si derrière l'organisation n'est pas adaptée, vous échouez. Structurer votre entreprise autour de ces trois métiers, vous aurez une organisation " human centric " qui fera mieux circuler l'information et les connaissances dans l'entreprise et lui donnera donc un avantage compétitif. Ne pas oublier que de nos jours, le client est exigeant : vous devez être présent quand il a un problème, même à une heure du matin.
Si vous êtes en première ligne face à un client, vous DEVEZ quelque soit votre poste lui apporter une réponse adaptée. Pour cela, l'entreprise doit apporter les moyens nécessaires et ouvrir ses connaissances, d'où l'opendata d'entreprise, et donc donner sens à ses données (web sémantique).

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jeudi 14 juillet 2011
Les piliers Networkvb : knowledge management, opendata, web sémantique
Quand un projet abouti, il est issu d'une réflexion intense et plus ou moins longue. C'est la construction de toute une vie et qui engage l'avenir. Pour y parvenir, nous ne pouvons pas et nous ne devons pas rester seul dans notre coin.
C'est pourquoi, je souhaitais poser un jalon et partager avec vous les prochaines étapes du projet. C'est qui VOUS ? Toi lecteur de cet article, venu pour la première fois ou lecteur assidu. Toi qui a fait un like sur la fan page Facebook du projet. Toi qui a commenté sur les différents supports où je parle du projet. Toi qui m'a ouvert ton blog.
VOUS, c'est aussi des personnes virtuelles devenues réelles, car je les ai rencontrées ou je leur ai parlées au téléphone ou j'échange régulièrement avec elles (Olivier, Pierre, Luc, Bruno, Laure, Sarah, Sophie, Carole, Sandrine, Anathalie, Nicolas, François, Marc, Martine, ...).
VOUS, c'est aussi des personnes que je considère comme des mentors (Fadhila, Catherine, Jean-Noel, Philippe, Philippe, ...)
VOUS, c'est aussi une petite équipe pluridisciplinaire qui m'aide en cas de besoin (Julia, Aurélia, Sophie, Valérie, Isabelle, Cédric, Frédéric...). On trouve de la communication, de la promotion, du commerce, de l'administratif, du design, du technique, la finance, ...
VOUS, c'est aussi mon réseau de contacts régionaux établi depuis des années maintenant où j'ai plaisir à croiser les membres et l'équipe de l'AgenceNTIC Bourgogne avec leurs partenaires.
Et j'en oublie encore. Un projet est symbolisé souvent par un homme ou une femme, derrière c'est bien une équipe qui fait tourner, c'est elle le premier pilier, dit autrement : la fondation du projet.
Une fois que nous avons défini une fondation solide, nous construisons le reste. Dans le cadre de Networkvb, nous avons trois piliers :
L'opendata : l'ouverture des données facilite l'accès des données brutes et apporte une valeur ajoutée aux données travaillées.
Le web sémantique : comme j'ai déjà eu l'occasion de le dire dans mes précédents articles, le web sémantique redonne du sens aux données dans un contexte défini.
Knowledge Management : la gestion des connaissances, c'est l'aboutissement d'une prise en compte du potentiel humain dans l'entreprise. Ford disait qu'il préférait faire faire le travail à 100 personnes que de le faire lui-même tout seul.
Offrez à vos employés la capacité de prendre le contrôle de leurs données, ils vous le rendront au centuple. Valorisez toute la chaîne de valeur, les données et les personnes, c'est faire des opérations gagnantes tel que 1+1=3.

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vendredi 8 juillet 2011
Twitter vaut 8 milliards, Networkvb vaut 1 milliard
Depuis le début de l'année, on parle aussi d'une nouvelle bulle Internet. Pour vous rassurer, vous lisez que la situation n'est pas la même qu'il y a dix ans. C'est vrai. Aujourd'hui, nous savons que le Web est devenu incontournable puisqu'il représente une part non négligeable dans la croissance économique, 25% du PIB en France. Le danger ne vient pas tant de ces sociétés, mais plutôt d'un assèchement du financement pour l'ensemble du reste de l'économie.
Ces valorisations sont basées sur le nombre d'utilisateurs de la plate-forme et sur la publicité. C'est un modèle économique qui a fait ses preuves et il est orienté BtoC. Avec l'arrivée de Google+, il semblerait que l'on glisse petit à petit vers du BtoB. Ce changement se fait par de légers glissements encore peu perceptibles. le projet " Networkvb " est orienté définitivement et dès le départ BtoB, avec une démarche OtoO (One to One), donc un modèle économique avec des services à la carte par forfait.
Si l'on change de modèle économique, la valorisation devrait être revu à la hausse ou à la baisse, plutôt le second cas. Or, on se bataille toujours pour capter le plus d'utilisateurs, pour être le plus gros, pour avoir la plus grande valorisation. On remet même en cause l'écosystème créé en rachetant les sociétés-satellites, Twitter qui rachète des start-up pour intégrer directement le service par exemple. Je trouve que cela appauvrit l'écosystème, donc la valeur de l'entreprise, d'où pour moi une survalorisation. D'ailleurs à chaque introduction, on constate une chute du titre dans la journée.
J'aimerai beaucoup que les spécialistes du secteur viennent commenter cet article pour donner leurs positions à ce sujet. Quant aux autres lecteurs votre sentiment sur le sujet est tout aussi important, cela peut orienté le secteur vers un peu plus de modération dans leurs pratiques.

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mercredi 6 juillet 2011
Google+ : un écosystème fermé en devenir
Jusqu'à présent, mon usage des outils Google était un usage personnel limité, à l'exception notable de Blogger. Et maintenant ? Rien ne va changer.
Je n'ai pas signé un chèque en blanc à Google pour gérer mes données, je n'ai aucune raison de m'enfermer dans un écosystème que je n'ai pas choisi.
Au premier abord et à la lecture des premiers articles, Google+ veut concurrencer Facebook, donc on copie tout. J'ai tout mis en place sur Facebook. Pourquoi devrais-je basculer ailleurs pour avoir la même chose ? Sachant que les deux protagonistes mettent une ligne Maginot entre eux pour que l'utilisateur ne puisse pas facilement basculer toutes ses données l'un vers l'autre.
Nous sommes des entrepreneurs, pas des girouettes. Même si Google+ gère mieux certaines choses que Facebook, sans rupture d'innovation je ne basculerai pas d'un service vers un autre. L'objectif n'est pas d'être le plus geek possible, c'est de pouvoir développer au maximum son entreprise.
Je parle beaucoup des entreprises, et pour les particuliers ? Pour moi, c'est pareil. Pour développer son identité numérique, il a besoin d'élargir ses horizons. S'il s'enferme dans un écosystème, son identité numérique sera le reflet d'une pensée unique et professionnellement, il s'appauvrira. Pour preuve, l'obligation d'avoir une adresse Gmail. Pour développer son activité, il faut développer sa propre identité numérique, sa propre marque. Google l'a compris pour lui en uniformisant ses marques, mais ne le permet pas de le faire pour ses utilisateurs.
Beaucoup d'entre vous ont déjà réagis sur leurs propres blogs, n'hésitez pas de donner votre point de vue par rapport à cet article ici et de renvoyer sur votre blog en mettant un lien.

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samedi 2 juillet 2011
Modèle économique opendata sémantique
Si la règle du projet opendata français est la gratuité, les exceptions risquent d'être nombreuses, d'autant qu'elles sont possibles. Des organismes et non des moindres, l'INSEE pour ne pas le citer, vivent de ces données.
Nous sommes donc bien dans une recherche d'un nouveau modèle économique. Le projet Networkvb s'intéresse naturellement à ces questions et souhaite activement participer à l'élaboration de réponses adaptées.
Depuis le dernier article, vous connaissez la philosophie du projet : la contextualisation des données brutes. Dans les TICs, le modèle économique dominant est basé sur la publicité. Qu'en est-il pour l'opendata sémantique ? Nous avons plusieurs acteurs possibles et je dirai que c'est avant tout une relation BtoB à la base.
Prenons l'exemple de la RATP, qui manifestement est sur la défensive dans ce domaine, l'opendata lui permettrait :
- d'informer plus rapidement, quasi temps réel, du traffic
- de bénéficier de nouveaux savoir-faire pour améliorer la qualité de service
- d'établir une cartographie précise des mouvements de personnes
- de participer à la politique du transport en région parisienne
En admettant que " Networkvb " utilise les données de la RATP pour faire une application sur mesure pour les voyageurs. La RATP au lieu de s'y opposer pourrait nous demander d'améliorer et / ou d'élargir le champ d'application, de ce fait cela deviendrait une application officielle RATP. Nous voyons bien que nous sommes dans une relation BtoB, donc inter-entreprises. L'usage des données est gratuite, le service est payant, la plus-value est dans l'amélioration de la qualité pour le consommateur final (ici la personne transportée). Le coût du service doit être inférieur au " coût de dégradation " (perte de C.A à cause d'une qualité de service non adaptée).
Pour les organismes publics, il s'agit de changer de vision, de l'élargir. J'utilise très peu, voire pas du tout les données publiques. Pourquoi ? Aucune valeur ajoutée pour moi, car ce sont des données macro-économiques que je suis obligé de retravailler. L'opendata sémantique donne ainsi une valeur ajoutée dès le départ, ainsi les organismes publics qui joueront le jeu de la gratuité des données pourront continuer à en vivre : le service payant, même plus cher, sera accepté car il correspondra à une valeur plus juste. Pour la mission Etalab, la gratuité ne devra pas être une exception mais bien la règle.
Toutes mes coordonnées sont sur la page contacts, n'hésitez pas à laisser vos commentaires pour participer au débat.

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samedi 25 juin 2011
Opendata sémantique BtoB
L'ouverture des données, l'opendata donc, offre une multitude d'informations tout comme les réseaux sociaux l'on fait avant. Actuellement, nous avons déjà des difficultés à gérer nos multiples présences en ligne, l'opendata accentue ce problème. Nous sommes donc au pied du mûr où la gestion de cet ensemble devient critique. Au même titre d'ailleurs que notre boîte mail après quelques jours d'absence.
J'ai demandé à Sophie un travail de graphisme en accord avec la philosophie du projet. Pour cela, nous avons discuté ensemble du projet. Il semblerait que dans mon discours je mettais en avant la connexion entre les personnes, et que l'on retenait que cela finalement. Comme je l'ai déjà indiqué dans un précédent article, non seulement je veux mieux connecter les personnes, mais je veux que les données de celles-ci soient aussi connectées : la fusion personnes et données, la fusion des réseaux (Intranet, Extranet, Internet), la fusion des connaissances.
Pour en revenir aux séries mentionnées en introduction, c'est en utilisant les éléments individuellement présent dans le contexte de la situation que la personne trouvait la solution. Le web sémantique va permettre à ces éléments individuels de créer une nouvelle valeur ajoutée. L'activité de l'utilisateur sera d'autant plus facilité. Comme je le mentionnais dans mon précédent article : la contextualisation des données et des personnes renforce l'utilité et l'usage des informations.

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samedi 18 juin 2011
Personal Branding : QuantifiedSelf, Opendata et RH
La première fois que j'ai entendu parler de ce sujet, j'étais très sceptique. Grâce à cette discussion avec notamment Emmanuel Gadenne, co-fondateur en France du concept, j'ai mieux compris. Comme tout nouveau concept, selon l'approche qui est utilisée vous n'avez pas les mêmes résultats. Les premiers exemples que j'ai vus apparaître consistaient pour faire court à vanter ses exploits sportifs au jour le jour : un voyeurisme moderne.
Je me suis intégré à la discussion, car la plaisanterie était de fournir son QuantifiedSelf avec son CV pour une recherche d'emploi. Nous arrivons donc à une mathématisation des RH, que Jean-Noël Chaintreuil ne renierai pas. Le principal problème pour moi, c'est que l'on juge toujours sur la quantité et non sur la qualité en partant sur ces bases.
Je suis un grand partisan pour l'opendata public et privé. Dans ce dernier cas, je n'envisageais pas les données TRES personnelles. Dans la discussion, j'ai abordé le fait que l'on pouvait trahir unilatéralement le secret professionnel (données médicales) par exemple.
Dans le domaine des RH, j'y vois une dérive discriminante. A trop mathématiser les RH, les datas brutes en dehors de tout contexte n'ont plus aucune valeur. Dans ce dernier cas, elles peuvent prêter à confusion.
Par exemple :
Données brutes :
7-8h, 30 min., 5-7 km, 5j / semaine, 21km dimanche
Données contextualisées :
Il y a quelques années en arrière, tous les matins de la semaine je partais entre 7 et 8 heures du matin faire un footing d'une demi-heure, soit entre 5 et 7 kms, puis le week-end, il m'arrivait de faire un semi-marathon soit environ 21 kms. Je me suis aperçu en faisant cela, que j'étais moins fatigué la journée pour bosser, donc mieux concentré. Vous pourriez vous dire que j'entretenais correctement mon corps et que je prenais soin de ma santé. Le seul problème, c'est que je faisais cela sans aucune préparation et sans régime alimentaire particuliers.
Lors de la discussion, certains ont affirmé qu'il y avait du comportemental dans les datas : je ne serai pas aussi catégorique que cela. Au tout début de la discussion, j'ai assimmilé le QuantifiedSelf à du nombrilisme. Il m'a été répondu que le Personal Branding l'était aussi. Le rapprochement est intéressant. Je ne conçoit pas le QuantifiedSelf comme un outil pour les RH, donc à l'insérer dans mon CV. Par contre, je suis tout à fait d'accord pour remplacer le CV par le Personal Branding dans les RH.
Dans ce dernier cas, l'outil pour sa mise en oeuvre n'existe pas encore : il faut attendre l'arrivée de " Networkvb "

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samedi 4 juin 2011
Les Echos de Pearltrees : opendata sémantique
Comme le suggère le titre, je vais vous parler de deux initiatives : celle des Echos dans l'opendata et celle de Pearltrees dans le web sémantiques. Ce n'est pas un billet sponsorisé.
Ce que j'apprécie dans la démarche des Echos, c'est la volonté de faire vivre la presse écrite par l'action. En phase de découverte de l'opendata, les premiers résultats sont très intéressants, voir ici. Personnellement de par mon parcours, je suis sensible à la presse économique et financière et donc les exemples proposés ont un intérêt direct pour moi. J'en ai rêvé, Les Echos l'ont commencé. Le potentiel est énorme, la direction est bonne.
On parle un peu moins de curation en ce moment, plus d'action peut-être ? Pearltrees, comme vous le savez en me suivant, a ma préférence. Cet outil fonctionne très bien et est très souple, grâce et uniquement à son export en RDF. L'idéal serait de créer ce même export dynamiquement, la mise à jour se ferait automatiquement. Vous ne seriez pas obligé d'attendre patiemment que votre humble serviteur mette à jour le fichier en ligne. Depuis hier, vous pouvez utiliser le SPARQL-endpoint avec la mise à jour. Le moteur de recherche interne du site sera mis à jour plus tard.
Hier, nous avons appris que Microsoft, Google et Yahoo s'étaient mis d'accord sur un nouveau format sémantique pour nos pages Web. Or l'organisme international W3C qui gère le web travaille déjà sur un format. Ainsi les moteurs de recherche veulent s'approprier le sémantique, nous risquons de nous retrouver avec une solution fermée alors que la force du sémantique selon moi se fait grâce à l'opendata. Les moteurs de recherche traditionnels se sentent menacer, ils cherchent donc la rupture pour survivre.
En effet, grâce aux APIs (interface de programmation) des réseaux sociaux, au web sémantique, à l'opendata et à la curation, l'usage des moteurs de recherches traditionnel est moins utile. L'idée de Networkvb est bien de ne plus les utiliser, au bénéfice de votre réseau social réparti sur plusieurs médias sociaux (fusion donnée et personne). Le virtuel et le réel ne feront plus qu'un.

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dimanche 29 mai 2011
La réussite de la passion : la mort du C.V ?
CV anonyme ou CV atypique : même combat pour sortir du ghetto. Je n'aime pas l'exercice du CV, ma dernière version est en ligne ici à titre purement informatif. Ce document est trop figé pour être efficace et est donc discriminatoire de mon point de vue. J'attends avec intérêt le débat des spécialistes RH en commentaire. Comme vous pourrez le constater, mon CV a une particularité : il y a très peu de salariat. Mon CV ne m'a pas permis de me valoriser dans ce type de carrières de mon point de vue. CV atypique, je suis confronté à l'incompréhension de l'autodidacte a priori : prouvez moi le contraire, je demande à être convaincu.
Le profil atypique est une personne de conviction : besoin de convaincre et d'être convaincu. Passionné, l'atypique est ouvert d'esprit, attentif, imaginatif et surtout profondément humain. On a peur de ce que l'on ne connait pas, d'où notre peur du vide : on ne sait pas comment et pourquoi cela est arrivé, donc on veut le remplir. L'alternative au salariat est l'entrepreneuriat avec sa contrainte : il faut essayer une multitude de fois. Comment l'exprimer sur un C.V ? Remplir ce vide. C'est très simple parler moi, échangeons ensemble pour trouver une solution et remplir ensemble ce vide qui nous fait peur, à vous comme à moi.
Pour plus d'informations, n'hésitez pas à relire mon article sur l'échec et sa perception où je parlais déjà du profil atypique et des choix à faire. Vous apprendrez aussi à mieux me connaître : je me dévoile un peu plus. Pour moi, le CV symbolise la théorie, celle qui est écrit dans le marbre et qui devient force de loi. L'autodidacte par son pragmatisme est plus réceptif à l'oral. Comme je le disais dans mes échanges sur Facebook à l'origine de ce complément d'informations, théorie et pratique ont besoin l'un de l'autre. Merci à Isabelle, Kevin et Fred pour nos échanges sur Facebook. J'ai besoin d'inscrire mon expérience dans une logique théorique pour renforcer mes pratiques.

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samedi 14 mai 2011
Pour réussir, devenez curieux
L'outil ne fait pas tout, il favorise tout de même ton autonomie sur le poste de travail et donc ta valeur professionnelle. Je suis surpris d'entendre encore de nos jours des personnes allergiques à l'informatique, d'une manière générale à la technique. Grâce à l'économie de la connaissance, il est possible à tout à chacun de se développer professionnellement, de se former soi-même.
Pour réussir, devenez curieux. Le secteur du e-learning va en être bouleversé, les cartes redistribuées au bénéfice de la formation continue individualisée et à la carte. On en parle très peu de ce secteur et pourtant il a en main le rôle principal dans le développement économique à venir. Et vous seriez-vous prêt ?

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vendredi 6 mai 2011
Sémantique et OpenData : prenez le contrôle de vos données
L'opendata et l'entreprise :
Les données publiques sont utiles pour l'entreprise dans son activité de prospection, notamment à l'export.
Les données publiques sont utiles par regroupement pour affiner une décision. Par exemple, comparaison entre les données européennes et nationales d'un pays membre.
La gestion des données : enjeu stratégique de l'entreprise
Le web 2.0 avait apporté son flot de données, l'OpenData apporte le sien aussi. La curation ne suffit pas à transformer la donnée en information. Le web sémantique ontribue à donner du sens, il vient en appui à la curation.
La traçabilité des données : réduire son cycle.
Trouver la bonne information au bon moment quelquesoit la quantité de données traitées est un enjeu pour l'entreprise.
Elle l'est aussi pour valoriser les connaissances des membres de l'entreprise.
Elle l'est aussi pour décrocher des marchés, à l'export ou pas.
L'OpenData est donc un enjeu stratégique pour l'entreprise, le web sémantique une réponse à cet enjeu.
Réduire le cycle de la donnée, c'est avoir une donnée dynamique. La donnée rentre dans le système productif pour être exploitée, sinon elle en sort. L'archivage de la donnée est dans un autre système, celui de la veille.
Toute donnée qui ne peut pas être utile à l'entreprise (Intranet), à son écosystème (Extranet) ou à son réseau (Internet) ne doit pas exister.

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samedi 30 avril 2011
E-reputation et Branding, à quoi ça sert ?
Votre e-reputation (réputation virtuelle) doit correspondre à votre réputation tout court (réputation réelle). Être réputé, cela signifie-t-il être une personne parfaite sans défaut ou être reconnu dans son domaine professionnel ? Selon les échos que j'en ai, il semblerait que ce soit la première réponse qui prédomine. Pourtant à titre personnel, j'ai choisi la deuxième.
Ma présence numérique n'a qu'un seul objectif : promouvoir un projet professionnel. J'ai qu'une seule identité numérique ou branding (networkvb) et qu'une seule identité physique (Vincent BARBEROT). En faisant une recherche Google, c'est beaucoup plus simple. En dehors de ce contexte, vous trouverez très peu d'informations, notamment sur ma vie privée. En allant sur mon profil Facebook, vous saurez que je suis un passionné de Basket-ball, que je suis un grand marcheur, pour déstresser essentiellement. C'est la meilleure protection contre la vie privée, le débat récurrent sur ce sujet ne m'intéresse pas : je n'y suis pas confronté. Je considère la présence sur Internet comme l'acceptation tacite d'être une personne publique.
Si vous voulez mieux me connaître, il faudra entrer en relation avec moi et lancer un dialogue, n'est-ce pas la fonction première des réseaux sociaux ? Ce sera avec plaisir, toutes les infos sur
Je ne me bats pas contre des personnes, j'échange des idées. L'e-reputation, on en fait quoi ? Si l'on remplaçait le slogan de départ par : " Nul n'est parfait sauf l'autre " ? Dans le projet " Networkvb " , je m'attache à être un connecteur, au sens informatique du terme (middleware, API : faire des bouts de code entre différentes applications), mais et surtout au sens humain du terme. Les différents sites de réseaux sociaux sont autant de silos qui ne dialoguent pas correctement entre eux. Cette fonction permet de donner davantage de sens, n'est-ce pas la définition du web sémantique ? Je n'ai jamais autant appris depuis ces dernières années où je suis sur les réseaux sociaux : " Nul n'est parfait, sauf l'autre " . Alors pourquoi fouiller dans sa vie privée, nous avons simplement besoin de ses qualités humaines et professionnelles.
Le premier principe de relations humaines de Dale Carnegie est :
"Ne critiquez pas, ne condamnez pas, ne vous plaignez pas"
Un autre :
"Mentionnez vos erreurs avant de corriger celles des autres"

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vendredi 29 avril 2011
Curation, Sémantique, Social Search et Sérendipité ?
C'est une discussion avec Sophie qui est à l'origine de cet article. Je devais lui donner les réponses dans le précédent article. Cette erreur m'a été salutaire, grâce à une autre discussion avec Laure. C'est donc un véritable travail collaboratif à l'origine de cet article.
En 2-3 questions, Sophie a bien cerné le contexte du projet " Networkvb " , ce qui m'a montré la difficulté de l'expliquer, l'objet de ma discussion avec Laure.
Outils spécifiques du web sémantique ou évolution ?
En tant que développeur, je dirai évolution. Les principaux standards sont issu du XML, de simples dérivés.
En tant qu'utilisateur, tout dépend de la mission et des objectifs que l'on assigne au web sémantique. Son usage sur le site web du projet est totalement transparent : c'est la fonction Search.
Une définition du web sémantique serait : " donner du sens au web " . Le langage de requête dérivé du SQL des bases de données, SPARQL, l'explique très bien : sujet, prédicat, objet sont les trois éléments sélectionnables pour votre requête. Allez sur http://www.networkvb.com/sparql/ en saisissant :
SELECT ?s ?p ?o WHERE {
?s ?p ?o
}
N'oubliez pas de cocher la case en bas à droite pour avoir l'affichage directement dans la page
Donner du sens, c'est aussi le thème très actuel de la curation, dans sa définition de conservateur de musée. Je vous laisse en compagnie de Pierre Tran et de son dossier très complet sur le sujet, votre humble serviteur y a participé. A ce sujet, Pearltrees semble être le seul outil de curation à ma connaissance qui inclut la sémantique avec son export RDF.
Web sémantique : obstacle à la sérendipité ?
En fait, j'ai déjà répondu à la question. Pearltrees avec son fonctionnement par perles et la possibilité de les déplacer, et surtout de connaître les perles voisines favorise au contraire la sérendipité, et en plus la contextualise.
Web sémantique vs Social Search
Je dirai que l'un ne va pas sans l'autre. Le Social Search s'appuie sur vous-même et sur votre réseau. Le web sémantique est l'outil nécessaire au Social Search. Ils ne s'opposent pas, ils se complètent. Si l'on considère en IT " social " comme une référence au Web 2.0, alors le Social Search est la résultante du web social et du web sémantique. En d'autres termes, il répond à la question : Comment faire une Social Search ? Le web social fournit les données, le web sémantique la méthodologie de recherche.

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samedi 23 avril 2011
Scoring RH : le " New Deal " de l'Entreprise 3.0
Il s'agit maintenant de définir les marqueurs de son activité, c'est ce que Jean-Noel Chaintreuil appelle " la mathématisation des RH " appliquant les maths comme Charlie dans la série " Numbers " .
Pour le scoring RH, nous avons Klout ou PeerIndex. Le premier, j'en ai déjà parlé ici. Le second attire davantage mon attention, même si pour moi il ne prend pas en compte toutes les dimensions des RH.
Pour moi, le scoring RH doit prendre en compte :
1 - E-réputation -> Moi
2 - Branding -> Moi et les autres
3 - Opendata -> Moi, les autres et mon activité
4 - Sémantique -> Moi, les autres, mon activité, l'activité des autres
Dans l'entreprise, ces dimensions seraient :
1 - Identity management -> Qui suis-je ?
2 - Branding management -> Comment suis-je perçu ?
3 - Content management -> Quoi en faire ?
4 - Knowledge management -> Que sais-je ?
Nous dirons donc que cet article est une introduction à un dossier collectif sur le sujet avec l'idée de développer ultérieurement chaque point. Je vous propose de laisser en commentaire votre avis sur cette introduction, notamment de définir les métriques correspondantes.

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samedi 16 avril 2011
Networkvb : un projet opendata pour les entreprises
L'exploitation de la nouvelle version de l'export RDF est très enrichissante, surtout elle permet l'automatisation complète. Ce dernier point ouvre les portes de l'opendata et du linkeddata. La création d'équipe permet également d'accéder aux perles de votre réseau de la même façon. Vous avez donc les personnes et les données au même endroit, c'est exactement la philosophie du projet " Networkvb "
Vous voulez pouvoir exploitez votre export RDF de la même manière. Le champ de recherche du site " Networkvb " donne un exemple des possibilités, il est couplé avec Twitter. Vous êtes intéressés ? Laissez un message en commentaire, nous vous proposerons plusieurs solutions.

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samedi 9 avril 2011
Le Partnership Relations Management : la vision globale de l'entreprise 3.0
- La fusion RH interne et RH externe, je vous renvoie vers les autres articles du blog sur le sujet des RH.
- La fusion entre les données et les personnes, créant de facto la notion de responsabilité individuelle.
- La fusion dans l'organisation de l'entreprise, créant l'autonomie des différents services.
Le PRM : la notion de vision globale
Pour moi, une entreprise est un écosystème car je l'ai toujours abordé comme le schéma d'un groupe ou plus précisément d'une holding avec toutes ses participations. Je me suis exercé en me basant sur l'histoire du groupe Bolloré. J'ai donc toujours eu une approche long terme et donc je recherche toujours une vision globale, pour mieux comprendre les choix à court terme.
Pour moi partnership, c'est autant le fournisseur, le partenaire commercial, la filiale que la réceptionniste du bâtiment où je travaille ou tout autre personne intégrée d'une manière ou d'une autre au fonctionnement de l'entreprise. C'est pourquoi je parle de fusion des RH internes et externes.
Data, OpenData, LinkedData : le Web 3.0 est de votre responsabilité
Web 3.0 dans le sens web de données ou web sémantique. L'Opendata, c'est l'opportunité de reprendre le contrôle de vos connaissances. A ce sujet, un challenge au niveau européen est en cours : Challenge Open Data. Le web sémantique permet au même titre que le code barre dans le commerce de créer une traçabilité des données et surtout de contextualiser ces dernières. Ainsi, nous obtenons une plus grande valeur ajoutée et nous en connaissons les acteurs. Dans un précédent article, j'avais lancé comme boutade : tous auto-entrepreneurs. C'était une façon imagée de dire que la données pour devenir une connaissance a besoin d'une personne. Libérer les données, c'est valoriser les compétences, les connaissances et les savoir-faire d'une personne : il faut les deux (données et personne).
Changement structurel : l'organisation de l'Entreprise 3.0
Avec l'entreprise 2.0, nous constatons que certaines personnes de l'entreprise sont en première ligne avec le client, par exemple le community manager. Ainsi les différents acronymes CRM SCRM ou customer centric ont tous en commun la satisfaction du client, l'entreprise est donc organisé en conséquence. Cela ne correspond pas à la vision globale et cette organisation a atteint ses propres limites.
Si le community manager est isolé de l'organisation et que le back office n'a pas la compréhension nécessaire, l'entreprise se retrouve avec un bad buzz à gérer. Chacun d'entre nous avons un réseau, des connaissances que nous gérons quotidiennement pour notre travail. Les mettre à disposition (opendata), c'est créer un lien entre les services et les personnes (linkeddata) pour répondre à la demande (on-demand). Nous sommes tous des community manager, nous faisons tous de la curation, c'est inclu dans nos missions quotidiennes pour répondre au client. Le partnership, c'est le nouveau contrat entre chacun.
NE SOYONS PAS PERSONAL CENTRIC mais bien PARTNERSHIP CENTRIC.
NE FAISONS PAS DU PERSONNAL RELATION MANAGEMENT mais bien du PARTNERSHIP RELATION MANAGEMENT

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mercredi 6 avril 2011
Changement structurel : Entreprise 3.0 & Opendata
Changement structurel :
Le CDI à vie n'est plus la règle, le salarié sédentaire ne sera plus la règle. Je parlai précédemment de la fusion entre RH interne et RH externe, elle se fera pour gérer les personnes et les données de l'entreprise : la connaissance a besoin des deux. Chacun aura la responsabilité de ses propres données et personne d'autre.
Entreprise 3.0 :
En définissant le web 3.0 comme le web sémantique, l'entreprise 3.0 serait la fusion entre les personnes (web 2.0) et les données. Nous nous orientons ainsi vers un scoring plus qualitatif que quantitatif. L'entreprise 3.0 est avant tout une solution intranet.
Opendata :
Il ne faut pas faire la même erreur que l'opensource, croire que tout est gratuit. Une donnée isolée ne vaut rien, donc vous devez l'aggréger avec d'autres données. L'objectif doit être de réduire le cycle de circulation des données. Plus le cycle est court, plus vous créez de la valeur ajoutée à cette donnée. De plus techniquement, nous pouvons avoir une traçabilité totale de la données et donc de l'auteur. Par conséquent, nous pouvons rémunérer au mieux la valeur ajoutée créée par l'auteur.
Info de dernière minute, vous pouvez participer au challenge opendata. Pour plus d'infos, allez sur Open Data Challenge

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jeudi 31 mars 2011
Knowledge Management, Curation et Community Management
Dans ce domaine de la curation, je vous renvoie sur le dossier très complet de Pierre Tran de 01net Pro. Je vais d'ailleurs m'appuyer sur ce dossier, étant présent dans la dernière partie. C'est une façon de compléter mes propos.
La curation : une mission transversale.
La curation existe, le curator non. A partir du moment où l'on conçoit la curation comme une mission, le métier de curator ne peut pas exister. Si nous traduisons curator par conservateur de musée, cela sous-entend que nous acceptons de transférer la gestion de nos connaissances à une tierce personne. La question a été souvent posée, sommes-nous tous curator ? Oui, car c'est une mission et non un métier. J'irai même plus loin, ce n'est même pas une mission transversale au sens strict : c'est plus un outil d'aide. L'objectif est de gérer ses propres connaissances.
L'enjeu de la gestion des connaissances (knowledge management)
La devise du projet " Networkvb " : prendre le contrôle de vos données. Si vous contrôler vos données brutes, vous pouvez les transformer en informations, puis en connaissances (données nettes). Cela doit rester un objectif professionnel pour pouvoir en toute circonstance s'adapter. Il faut sortir du buzzword et replacer tous les éléments dans votre contexte et pour votre usage.
Web 3.0 : gestion de projet, gestion du poste de travail, gestion de carrière, ...
Le but ultime de notre présence numérique est-il de collectionner des contacts, d'amasser des documents et des données, de développer sa marque pour le plaisir ou de développer ses compétences pour un épanouissement professionnel ? Quelque soit votre but, des entreprises seront toujours intéressées par vous. Par provocation, je dirai, soyons tous l'auto-entrepreneur de nos données.
Peut-on vraiment être un community manager ?
Ne serait-ce pas comme le curator ? Une communauté n'appartient à personne et à tout le monde à la fois. Dans les pratiques, cela donne l'impression de créer des silos coupés du monde. Si la fonction de community manager est plus légitime que le curator, je ne suis pas sûr qu'elle s'impose dans l'entreprise à long terme. Pourquoi ? elle n'a pas encore créé le changement structurel nécessaire au sein de l'entreprise.

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samedi 26 mars 2011
Changement structurel : le scoring RH
La place du département RH dans l'entreprise :
A l'heure actuelle, il n'est pas toujours considéré à sa juste valeur, car sa rentabilité est difficile à quantifier. Ces derniers temps, j'ai eu tendance à m'emporter sur l'extase que la plupart porte sur les chiffres du web 2.0 en particulier. Les DRH ne se valorisent pas assez alors que la richesse de l'entreprise se trouve en leur sein.
La fusion des RH internes et externes :
De quoi parle-t-on ? Je parle des femmes et des hommes qui font marcher l'entreprise. Les employés (maison-mère et autres établissements) forment la partie traditionnelle des RH (RH interne selon ma terminologie), mais il y a aussi les fournisseurs, les partenaires et surtout les clients (RH externe selon ma terminologie). Ceci est rendu possible grâce à l'émergence et au développement de la co-création. Cette fusion va rendre le CRM et SCRM obsolètes, du moins l'entreprise pourra s'appuyer sur cette expérience pour mener la fusion à bien.
Changement structurel, le New Deal des entreprises :
Cette fusion, c'est le changement structurel que je propose aux entreprises. On ne peut pas libérer les données (Opendata, Linkeddata) sans libérer les auteurs. Cette libéralisation doit favoriser le développement de l'innovation dans l'entreprise grâce à une meilleure circulation des idées. Ainsi chaque personne est responsable de ses données et identifiée comme tel, une nouvelle génération de Diaspora. De ce fait, on peut facilement concilier cela avec le télétravail, la personne étant autonome dans son travail et disposant à titre privé ou professionnel des outils adéquats.
Le deal : soyez votre propre plate-forme ? Qu'en pensez-vous ?

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jeudi 17 mars 2011
RH 1.0, RH 2.0, SIRH 3.0 : une révolution en marche
RH 1.0 : la gestion des femmes et des hommes
On va dire que c'est l'époque du travail garanti en CDI.
RH 2.0 : la gestion du poste de travail
Le poste informatisé est la règle, le salarié s'efface devant la machine. Les données prennent de plus en plus d'importance, c'est l'époque où l'on doit gérer la fameuse " infobésité " ou la surinformation. Le salarié doit s'adapter à la technique : le combat est lancé.
SIRH 3.0 : la gestion d'un écosystème
Nous sommes parvenu à gérer en même temps les personnes et les données, la surinformation est un lointain souvenir. L'entreprise parvient à redéfinir ses priorités où les RH sont au coeur du dispositif.
" Networkvb " a pour objectif de construire avec vous votre SIRH 3.0 où le H de RH prendrait tout son sens avec une formation continue grâce au e-learning 3.0, avec une gestion de carrière maîtrisée et non subie, favorisant naturellement la conduite du changement au sein de l'entreprise. Je ne définis pas un monde de bisounours, je définis le champ des possibles avec les outils que l'on dispose.
Cet article est avant tout une image à un instant T de ma propre conception pour lancer le débat. Vous êtes dans la fonction RH ? N'hésitez pas à intervenir pour l'expliquer de l'intérieur à nos lecteurs.

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samedi 12 mars 2011
Scoring, E-reputation : Klout est-il fiable ?
Depuis quelques temps, j'ai regardé de plus près mon scoring sur Klout. En analysant plus en détail, j'ai découvert des incohérences. La première d'entre elles, l'activité sur Twitter, montre qu'une absence prolongée vous fait baisser sensiblement votre scoring. En d'autres termes, pour maintenir votre scoring vous devez être très actif sur Twitter en permanence. J'en ai conclu que Klout voulait maintenir l'activité chronophage du réseautage, ce qui est contraire au fonctionnement d'une entreprise dynamique et productive.
Pourquoi un tel sous-titre ? Les chiffres de Klout ne reflètent aucune réalité de notre activité. Pourquoi serions-nous moins réputés le fait d'être absent une semaine de Twitter ? D'où le choix du sous-titre : on nous impose une décision unilatérale.
Quantité vs Qualité :
Le scoring sur Klout serait donc basé sur la quantité et non sur la qualité. Pour preuve, la seconde incohérence est de voir que nous sommes l'influenceur d'une personne dont les qualités professionnelles sont indéniables ; ou à l'inverse, d'être soi-disant influencé par une personne où les échanges des tweets étaient de la courtoisie. La e-réputation ne peut pas se résumer en un chiffre, donc la fiabilité du scoring est naturellement remise en cause, et ces derniers temps beaucoup de discussions sont apparues à ce sujet.
Nouvelles métriques :
La e-réputation ne se limite pas à un chiffre, définie par un algorithme mathématique sans un lien avec la réalité. Chacun doit définir son tableau de bord public qui reflète son activité. Votre e-réputation, c'est bien la capacité d'expertise qui favorise votre développement professionnel ET personnel.
N'hésitez pas à laisser vos commentaires, votre vision pour débattre ensemble. Vous pouvez me retrouver sur Twitter ou sur La Fan page Facebook ou tout autre endroit numérique de votre choix en utilisant mon identité numérique unique networkvb.

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samedi 19 février 2011
L'échec n'existe pas, ou plutôt si c'est l'immobilisme
@networkvb Vincent BARBEROT
@SylvainePascual @metasens Ce que certains appelle échec, je l'appelle expériences enrichissantes à corriger.
@SylvainePascual SylvainePascual
@networkvb je n'aime pas beaucoup le terme échec, qui est plus un état d'esprit qu'une réalité objective:)
@SebastienM7H99 SebastienM7H99
@networkvb @SylvainePascual en quoi cette erreur nous appris qque chose que nous n'aurions pas appris en cas de réussite ? #excellence
@networkvb Vincent BARBEROT
@SebastienM7H99 C'est la question qui résume tout. Dans l'absolu, l'excellence n'existe pas, c'est ce qui nous fait avancer.
C'est cette dernière réponse que j'ai faite qui constitue mon approche : ne pas réussir du premier coup, ne veut pas dire échec et arrêter tout. Pourtant, c'est l'environnement dans lequel je vis et que je veux quitter en menant à bien mes projets. La persévérance ne veut pas dire fermer à tout échange, même si dans ma jeunesse ce fut le cas et l'assurance d'un parcours plus difficile. Faire des mauvais choix ne veut pas dire échec. J'ai plus appris de mes initiatives que du contentement de mon apprentissage de base que j'ai râté par ailleurs.
Mes erreurs de jeunesse : croire que mes capacités me permettraient de tout faire et refuser la vision de l'autre. Résultat : j'ai zappé mon adolescence en étant seul.
Mes choix d'adolescent : apprendre de mes erreurs. Résultats : j'ai choisi la fillière commerciale pour me confronter à la vision des autres et par goût du fonctionnement de l'économie. J'ai réintégrer la vie sociale, je m'y suis épanoui, j'ai commencé à me (re)construire.
Mes choix d'adulte : assumer mon passé en faire une force par un parcours atypique. La seule solution à mes yeux : l'entrepreneuriat, une voie semée d'embûches. Déjà deux créations à mon actif, une troisième en cours. J'ai appris, j'apprends et j'apprendrai par la pratique en étant au coeur des discussions, de la vie sociale ; en étant à la recherche et au coeur de la nouvelle économie : l'informatique du savoir.

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